Tous les trimestres, de nombreuses écoles, se construisent dans la ville mère au royaume de L’ACTIVING FIGHTING. Mais une non-évolution des écoles stagne. A savoir pourquoi et comment, on n’en sait pas plus que ça. Certains ragots disent que des combattants préfèrent s’entraîner dans les champs de blé, à défaut de ne pas pouvoir s’offrir une école haut de gamme. Peu nombreux connaissent des gens qui connaissent d’autres personnes qui 

eux-mêmes sont les cousins d’un membre d’une team et d’avoir droit à des entrées privilégiées à 50 rens, dans des écoles haut de gamme, qui normalement valent 200 rens. Ces places valent cher. Donc, même s’ils sont inscrits dans ces écoles qui n’évoluent pas, ils s’entraînent à déchiqueter le blé en guise de coup de pied latéral et autre techniques du renard (ou du lynx, c’est selon) dans n’importe quelle discipline. J’ai essayé d’interviewer des parieurs pour savoir ce qu’ils en pensent. Ils m’ont tous répondu. J’en ai gardé quelques-uns.

 « À vrai dire, tant que je gagne du fric, je m’en cogne le steak garçon »

« Oh vous savez, je suis un aventurier, j’aime être bluffé par les joueurs, j’imagine que nous devons regarder les stats de leurs entraînements. Et savoir aussi qui les entraîne. Ça peut aider pour les paris »

 « Sur 50 combattants, il y a peut-être 2 qui arrivent à avoir de la gloire en s’entraînant dans les champs de blé. Mais la vérité, c’est que les agriculteurs, un jour, ils vont bien finir par créer une manifestation pour que la ville fasse quelque chose. Les sponsors devraient sortir leurs portefeuilles plus souvent »

À cette dernière personne je lui ai demandé s’il savait comment les sponsors travaillaient. Apparemment il ne savait pas, alors son argument ne tenais pas debout pour moi. Mais par honnêteté envers ce parieur, j’ai gardé sa réplique. Pour finir je vous livre une dernière réponse d’un parieur.

Nouvelles écoles

Nouvelles écoles

« J’en ai rencontré des joueurs, et je peux vous assurer qu’avec rien, ils peuvent s’offrir de bonnes écoles. »

Tout ça ne résout en rien du pourquoi du comment les nouvelles écoles rester figées à 0 pour cent de qualité. Hier, je suis allez boire un saké avec un ami et ce dernier m’avait dit qu’il aimait bien mon article, mais il estimait que les combattants devraient viser plus haut dans leurs envies. Pour mon pote, tous les combattants devraient être exigeant dans leurs choix d’écoles, afin d’évoluer dans les meilleurs, la compétition ne serait que positive.

Dans les prochains jours, je vais tenter d’interviewer des directeurs d’école pour savoir comment font-ils au quotidien. Mais comme je ne suis pas connu pour le moment, je vais sûrement avoir du mal à trouver des personnes. Sait-on jamais. En attendant, je finirais par dire ceci. Qu’importe le choix des écoles de l’entraîneur, de la discipline choisi, il faut se sentir bien dans ce que l’on fait. Car dans les trois cas, si l’on n’aime pas, on peut changer de métier. Genre école des bisounours, c’est bien aussi.